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Quand on voit que Jason
et Freddy sont
immortels, il est très chiant de se taper le seul slayer
des 3 qui ne soit qu'un con d'être humain. Par contre rien
n'empêche de le rendre super balèze ! Michael Myers
se relève donc tout le temps et même s'il crève
à la fin de ce chapitre d'une façon magistrale, ça
n'a absolument pas arrêté les producteurs qui en ont
fait la suite !
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Le tueur de John Carpenter revient
donc dans ce 7ème épisode pour foutre une branlée
monumentale à sa frangine qui essaye de l'oublier. Elle
a changé de nom, de vie, de coupe de cheveux et refait
sa vie avec Adam Arkin qui se fout trop de la situation pour
pouvoir finir le film. On apprécie la première
grosse prestation visuelle de Josh
Hartnett et celle nettement plus discrète de Joseph
Gordon-Levitt qui se fait expédier avant même que
le générique ne soit envoyé. C'est bien
là le problème de ce gentil bonhomme masqué
: Il tue à tout va s'en trop lui-même savoir pourquoi.
On a donc un beau décompte de 6 morts plus celle du tueur.
7, ça peut sembler peu, mais au moins elles marquent.
On a aussi des petites frayeurs dont deux scènes très
tripantes mais qui souffrent d'erreurs de mise en scène.
On essaye de pardonner car le film a droit à une chance.
On a donc de la mort spectaculaire et pas mal de sang qui gicle.
LL Cool J est
mauvais et survit. Il a dû poser un droit de survie sur
son personnage car il refera le coup plus tard avec Peur
Bleue. |
Jamie
Lee Curtis joue enfin autre chose que le rôle de la
potiche aux gros seins de service puisqu'elle incarne ici la
mère d'un jeune rebelle insouciant qui va forcément
s'en prendre plein la tronche. Mais l'union de la famille est
plus forte que la mort et le Happy End serait presque de mise
si la môman ne pétait pas son câble durant
les 5 dernières minutes du film. Steve
Miner supplante alors le créateur du tueur d'Halloween
en faisant un film dynamique et bien accrocheur malgré
le nombre réduit de victimes. |
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3 morts avant le générique (la moitié
donc) dont un patin à glace encastré dans la face
(hors-caméra) et un égorgement en gros plan. On a
ensuite la preuve que les chiottes de bord d'autoroutes ne sont
pas fréquentables et enfin de quoi réjouir les petits
étudiants qui veulent démontrer à leur mère
que l'université est un endroit dangereux. Une main broyée
trop mal anticipée (donc pas broyée !) et un tué
hors-caméra annoncent les festivités. Une fille se
fait exploser une jambe avant de se voir reconvertit en passoire
puis pendue (humour mal venu d'ailleurs, mise en scène dont
ne s'embarrasse normalement pas le tueur !) avant qu'un pseudo-mari
se fasse empaler à bout de bras. Une balle effleurante et
quelques petites frayeurs plus tard, on sait que le décompte
est fini puisque seuls restent la belle et la bête. On finit
le film alors sur un coup de hache qui envoie valdinguer la tête
du tueur dans la nature. Pas mal.
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